Plus de 70 % des Yéménites vivent désormais sous le seuil de pauvreté : agence des Nations Unies pour les migrations

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Plus de 70 % des Yéménites vivent désormais sous le seuil de pauvreté : agence des Nations Unies pour les migrations

Plus de 70 % des Yéménites vivent désormais sous le seuil de pauvreté : agence des Nations Unies pour les migrations
02 avril 2022
Plus de 70 % des Yéménites vivent désormais sous le seuil de pauvreté : agence des Nations Unies pour les migrations
L’agression menée par l’Arabie saoudite contre le Yémen a créé l’une des pires crises humanitaires d’origine humaine au monde, près de 80 % de la population du pays ayant besoin d’aide humanitaire et de protection.
L’Organisation internationale pour les migrations a averti vendredi que plus de 25,5 millions de Yéménites vivaient dans la pauvreté à la suite de l’agression menée par l’Arabie saoudite, qui est entrée dans sa 8e année.
L’agence des Nations Unies pour les migrations a également publié sur Twitter, en utilisant le hashtag « Yemen Can’t Wait », que la guerre contre le Yémen a déplacé plus de 4 millions de personnes et forcé plus de 2 millions d’enfants à quitter l’école.
Selon les estimations de l’ONU, l’agression menée par l’Arabie saoudite contre le Yémen a créé l’une des pires crises humanitaires d’origine humaine au monde, avec près de 80 % de la population du pays ayant besoin d’aide humanitaire et de protection, et plus de 13 millions de personnes menacées de famine. .
L’Arabie saoudite et les Émirats arabes unis, avec le soutien des États-Unis et du Royaume-Uni, continuent de faire la guerre et d’assiéger le Yémen. Malgré la guerre, qui a commencé en 2015 et qui entre dans sa 8e année, avec le soutien international et les ventes d’armes lourdes de pays comme le Canada, la guerre est dans une impasse et a provoqué une crise humanitaire qui ne connaît pas de fin.
La guerre contre le Yémen et le blocus imposé par la coalition dirigée par l’Arabie saoudite à ce pays frappé par la pauvreté sont les principaux moteurs de la crise de la faim – la situation risque de s’aggraver avec la dernière guerre en Ukraine, qui est à l’origine de 30 % de la importations de blé.

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