4 –  La Syrie de Bachar Al-Assad résiste à l’agression étrangère et gagne du terrain.

En toute chose, Dieu peut tenter Ses Serviteurs. C’est ainsi que le déferlement massif de l’attaque des pays de la région, des puissances et du terrorisme à grande échelle entraîne des défections dans les 2 camps. Des déserteurs se rendent ainsi que des groupes armés et des membres du Conseil national syrien (CNS) de l’opposition démissionnent tandis que des personnalités comme l’ancien ministre de l’agriculture devenu Premier Ministre et le porte-parole du Ministère des Affaires étrangères, fuient dans les pays frontaliers. Les Syriens les ont laissés partir. C’est que de nombreux dignitaires de haut rang ont été tués dans des attentats et d’autres blessés. Les premiers savent la réalité du terrain et ne croient plus à une victoire des amis de la Turquie. Les autres sont trompés et leur motivation sans dévouement sincère.

Le nouveau Premier ministre s’est rendu à Alep, la deuxième ville et la capitale économique du pays, pour la première fois depuis la guerre dans la ville. Et ce, pour démontrer, si cela s’avérait encore utile, que les choses changent sur le terrain. On comprend pourquoi les puissances ne cessent de menacer d’une intervention humanitaire-militaire imminente. Aussi des manifestations ont lieu au crie de « l’armée syrienne libre sont une bande de voleurs ». Même les gens du commun commencent à comprendre, à distinguer entre les assassins et les sauveurs. L’ignorance qui régnait au commencement de la guerre se dissipe et les gens sans arme préfèrent mourir que de trahir le pays.

Le pape Benoît XVI rompt son silence en appelant au cessez-le-feu et au dialogue. Nasrallah, secrétaire général du Hezbollah, qui dès le début du conflit appelait à une solution politique, réaffirme que ni les uns ni les autres ne peuvent l’emporter et que « l’opposition ne gagnera pas ». Le Président Bachar Al-Assad ne mendie pas la paix, il veut la gagner : « le dialogue se fera avec ceux qui déposeront les armes ».

Car tous les jours que Dieu fait, l’armée syrienne loyaliste chasse les terroristes qui fuient d’un endroit à l’autre tout en commettant des exactions qu’ils filment pour faire illusion, faire croire qu’ils sont partout et l’armée, nulle part. Or ce qu’ils cachent mal, c’est que les victimes sont des civils. Car la population s’est détournée d’eux irréversiblement. Tout repose sur l’armée qui a déjouée de nombreux complots par son unité et sa cohésion, avec la sagesse de ses chefs fidèles au Président Al-Assad. Il est proche le temps de la justice pour venger le peuple et c’est par l’armée que Dieu frappera les injustes.