Le retour de l’Iran
Après la fin des pourparlers de Vienne qui prévoient de lever les sanctions contre l’Iran, les chancelleries et investisseurs défilent à Téhéran. Le Foll, ministre français de l’agriculture, débarque avec 150 entrepreneurs. La Chine est prête à une coopération militaire approfondie.
Mais le plus remarquable, c’est le nouvel essor des relations russo-iraniennes. Pour la Syrie, la Russie bombarde par les voies aériennes et maritimes et l’Iran attaque au sol (de même qu’en Irak pour sauvegarder les lieux saints et davantage). La Russie devrait, malgré les pressions d’Israël et des puissances, livrer des S-300 voire S-400 à l’Iran.
L’alliance Occident, Israël et pays arabes du Golfe tente de soulever à l’encontre de l’Iran des problèmes politiques tels que le manque de démocratie, la peine de mort et le refus des autorités iraniennes d’accepter la visite de ses bases militaires. Ce qui vaut à une ingérence flagrante dans les affaires de l’Iran mais cela est balayé d’un revers de main. Poutine et les Iraniens signent un grand nombre de contrats notamment militaires. Pour la 3ème fois, le guide des Musulmans, Khamenei, tend la main à la jeunesse d’Occident et lui lance un message pour sortir de l’égarement et suivre le vrai Islam.
Sur le nucléaire iranien, Israël place sa confiance en les inspecteurs de l’AIEA avec le japonais Amano qui a un esprit de soumission sans résistance : un barrage de plus à surmonter pour la diplomatie iranienne. Il cédera lui-aussi.
La Russie est attaquée sur tous les fronts par les islamistes sans nom, les occidentaux et la force invisible de l’Arrogance reliés par la presse auprès de peuples abrutis. C’est cela qui pousse la Russie à fournir 2 réacteurs à l’Iran. La grande Russie a tout compris. Elle ne peut compter que sur l’Iran comme allié.
L’Irak est miné, saboté par les traîtres politiciens et les terroristes de Daesh et autres, les Turcs, et les Américains. L’Irak n’est pas fiable. La Syrie défend sa souveraineté mais elle est affaiblie. Il faut l’aider. D’où l’intervention aérienne russe et terrestre iranienne. L’Iran avance son jeu pendant que les autres sont embourbés dans des calculs géopolitiques qui se neutralisent et s’anéantissent.
L’Iran continue son chemin diplomatique en une tentative de conciliation entre la Russie et la Turquie : un F-16 turc venait de détruire un Sukhoï Su-24 russe dans l’espace aérien syrien.
Après le succès de l’accord nucléaire iranien, l’Iran entre dans le concert des nations et peur se donner les moyens d’accueillir Al-Mahdi, l’Elu de Dieu