Les ennemis de la Syrie sont nombreux. Sous prétexte d’éviter la guerre civile, l’Irak ne permet pas à l’Iran de fournir des armes à la Syrie à travers sa frontière. Alors que l’Irak est déchiré, martyrisé par les mêmes mains qui frappent aujourd’hui la Syrie. Les terroristes de leurs côtés pratiquent le politique de la terre brûlée sous l’égide de l’Arabie, du Qatar, de la Turquie et des puissances. Tous ces massacres et attentats veulent terroriser, décourager et diviser le peuple et l’armée et ils sont pratiqués par des spécialistes étrangers.

La discrétion US est réelle mais les firmes privées sont appelées à armer et orienter les terroristes. Il y a des tirs à la frontière turco-syrienne. Les Turcs en appellent à l’OTAN. Les masques tombent : la Syrie est exclue de la Ligue Arabe. Les conférences sur « les amis du peuple syrien » ont lieu sans le principal acteur, la Syrie. Un missionnaire wahhabite saoudite veut la « tête » de Bachar Al-Assad pour 450 000 dollars. Les occidentaux et la Turquie expulsent les diplomates et ambassadeurs syriens. La Syrie riposte de la même façon.

Les chaînes syriennes subissent un embargo de Nilesat et d’Arabsat. Les ingénieurs et spécialistes anglais et français épaulent techniquement les rebelles. Les ex-forces spéciales britanniques entraînent et les Français apportent les moyens de communication. Selon les renseignements chinois, Hollywood s’apprêteraient à faire un film grandeur nature sur la chute d’Assad, reconstitution financée par l’Arabie (qui espère vainement éviter les attentats inévitables à la Mecque) et le Qatar.        A Doha, construction de véritables villes syriennes pour tromper l’opinion en montrant des avions, des blindés et partout des destructions.

Quand Al-Mahdi viendra, le rêve ottoman des enfants d’Atatürk tournera au cauchemar. L’orgueil les perdra. Tout cela est écrit : la Turquie sera détruite.