L’avenir du nucléaire (2)
Dans un premier temps, les USA demandent de faire un front commun pour des sanctions contre l’Iran. La France demande des sanctions malgré la surveillance de l’AIEA. La Russie et la Chine sont pour une voie négociée. La doctrine nucléaire d’Obama menace directement l’Iran.
Or malgré tout cela, la solution qui inclurait la France et la Russie pose problème. Car les Iraniens se méfient de la France qui pourrait ne pas rendre le combustible nucléaire. L’Iran joue la dissuasion en décidant la production de bombes nouvelles générations. Les puissances sont humiliées, davantage encore les sionistes. En effet, l’Iran avec la Turquie et le Brésil met au point « la déclaration de Téhéran » : tout se ferait en Turquie puis retournerait en Iran. Et pour couronner le tout l’Iran propose avec ou sans la Russie d’exporter le nucléaire.
Dans tous les pays, le nucléaire pose problème. C’est que « les sages de Sion » exigent la fin du nucléaire civil ou militaire dans le monde sauf en Israël. Le Messie ou Elie le prophète nécessite une centrale nucléaire : il viendra là où il y aura les moyen de son œuvre. On comprend donc cet acharnement des sionistes et cette sourde incompréhension des puissances : il suffirait de reconnaître le droit de l’Iran au nucléaire civil et de faire inspecter continûment toute centrale par l’AIEA. C’est ce que préconise l’Iran en invitant les ambassadeurs des pays de l’AIEA à visiter les autres installations comme la centrale de Bouchehr.
Les occidentaux sont obligés de subir une crise des plus graves tout en étant eux-mêmes sous la pression des sionistes pour abandonner les centrales nucléaires présentes et futures. Des organisations et des associations plus ou moins politiques poussent ça et là pour demander de « sortir du nucléaire ». Ce qui est en contradiction avec la « civilisation écologique » que le monde connaît. Car le nucléaire est efficace et écologique. Mais cela ne suffit pas pour le sionisme qui va toujours plus loin dans ses diktats : Netanyahu demande à Obama de menacer l’Iran de représailles militaires. Le refus est clair et net.
Al-Mahdi ira en Iran, dans la centrale de nucléaire de Bouchehr pour son œuvre grandiose qui n’implique nullement de programme militaire.