Hariri ou l’éloge de la lâcheté (1)
14 août 2020
Le Premier Ministre du Liban en Arabie s’explique sur sa démission en dialecte libanais et non comme la première fois en arabe, à travers une interview sur sa chaîne « Future TV ». Seule la femme qui l’interroge est libanaise, les techniciens ne le sont pas.
Tous les indices portent à croire qu’il est détenu contre son gré. Tous les groupes politiques libanais veulent son retour pour démissionner légalement (désormais il est considéré comme un vassal des saoudien).
Bien après son retour au Liban, dans un meeting, devant une foule abrutie, il dit : « La paix que nous vivons est un don de Dieu ». Or quand, avec l’aide de Dieu, le Hezbollah libérait Al-Qalamoun, Hariri était au même moment chez Trump.