La censure des médias financés par la Russie sur les grandes plateformes de partage de contenus américaines se poursuit, celles-ci affirmant lutter contre une supposée désinformation sur l’offensive russe en Ukraine – sans pour autant invoquer d’exemples précis étayant ces allégations.

Le géant américain YouTube a annoncé que le blocage des médias financés par la Russie allait désormais s’appliquer dans le monde entier, et non plus seulement dans l’Union européenne sont en premier lieu concernés les médias RT et Sputnik.

«Nos lignes directrices interdisent les contenus qui nient, minimisent ou banalisent des événements violents bien documentés et nous retirons les contenus sur l’invasion russe de l’Ukraine qui enfreignent ce règlement», a déclaré le 11 mars un porte-parole de YouTube pour justifier sa décision de censure.